Il fait très chaud pour une journée de novembre et les jeunes jouent dehors. Ils sont convaincus que cela provient de l 'effet de serre et ils tentent d'expliquer le phénomène à quelques camarades moins sensibilisés à leur cause.

Maestro parle de l'atmosphère terrestre qui jusque là, arrivait à réguler le climat pour assurer un milieu vivable aux humains et à la nature. Les jeunes veulent maintenant savoir ce qui est fait pour lutter contre l'effet de serre.

Meastro explique aux jeunes le fonctionnement du Gulf Stream, le courant qui régule la température à laquelle nous sommes habitués. Ils nous explique aussi ce qu'il se passerait s'il ne se produisait plus.

Lorsqu'un message d'appel à l'aide d'un correspondant inuit arrive dans l'équipe, quelques-uns d'entre eux décident de se rendre auprès d'eux pour mieux se rendre compte de leur situation et des changements climatiques qui provoquent le déséquilibre dans le Grand Nord.

Debbie accompagne les jeunes reporters à la chasse et leur montre les dernières zones de vie sauvage. Elle et sa famille expliquent les nouvelles pressions que le changement climatique met sur ces communautés traditionnelles et reculées.

Le groupe prévoit de répandre l'information pour alarmer sur la situation des Inuits mais c'est déjà très tendu dans le village, où les dangereux ours blancs viennent chercher de la nourriture.

Des restrictions strictes d'eau vont concerner des millions de personnes en Californie tandis que la côte ouest des États-Unis vit toujours une sécheresse écrasante.

La Grande barrière de corail est l'un des endroits les plus uniques et magnifiques au monde et l'un des symboles les plus puissants du changement climatique. Ce gigantesque écosystème s'étend sur 2300 kilomètres et est même visible depuis l'espace !

Chaque touriste visitant la Grande barrière de corail contribue à sa protection via un petit prélèvement sur ses dépenses. Les scientifiques et les acteurs du tourisme nous encouragent donc à venir visiter ce milieu naturel unique pour en acquérir une meilleure compréhension et une meilleure connaissance.

Il y a peu d'endroits aussi époustouflants sur cette terre que le Grand Canyon, l'un des derniers espaces sauvages américains a avoir été exploré et maintenant protégé par le statut de parc national. Parmi sa faune abondante, le mouflon canadien fait preuve de beaucoup d'agilité et parfois d'un peu d'agressivité.

Quand le combat est terminé, les mouflons exténués remontent sur le bord du canyon. Mais ils doivent être prudents car le canyon abritent aussi des prédateurs féroces comme le puma. Les touristes, eux, ne vont que rarement au-delà des endroits prévus pour l'observation du panorama car le terrain est très difficile d'accès.

Les pics glandivores sont des oiseaux fort malins et minutieux qui stockent les glands dans les trous qu'ils percent dans les arbres. À chaque gland son petit coffre-fort ! Mais quelques voleurs essaient d'en profiter et de se faire un repas facile à leurs frais.

L'un des oiseaux les plus rares au monde, le condor de Californie, volent majestueusement au-dessus du Grand Canyon. Une population grandissante de bisons peuple aussi le bord nord du Canyon, mais leur présence suscite quelques inquiétudes !

Les chiens de prairie sont en alerte constante contre les nombreuses espèces de prédateurs autour d'eux.. Mais le renard nain doit nourrir sa famille... Pendant ce temps, la chaleur augmente et les oiseaux tournoient dans le ciel et les créatures au sol doivent savoir de qui se méfier. Cependant, il y a parfois des surprises.

Pendant des siècles, le Grand Canyon et sa rivière semblaient infranchissables. Mais au dix-neuvième siècle, les humains ont taillé des sentiers jusqu'au fond du canyon. Les mouflons et les hirondelles s'y déplacent quand même plus agilement...