Pendant des siècles, le Grand Canyon et sa rivière semblaient infranchissables. Mais au dix-neuvième siècle, les humains ont taillé des sentiers jusqu'au fond du canyon. Les mouflons et les hirondelles s'y déplacent quand même plus agilement...

Les pics glandivores sont des oiseaux fort malins et minutieux qui stockent les glands dans les trous qu'ils percent dans les arbres. À chaque gland son petit coffre-fort ! Mais quelques voleurs essaient d'en profiter et de se faire un repas facile à leurs frais.

L'un des oiseaux les plus rares au monde, le condor de Californie, volent majestueusement au-dessus du Grand Canyon. Une population grandissante de bisons peuple aussi le bord nord du Canyon, mais leur présence suscite quelques inquiétudes !

Quand le combat est terminé, les mouflons exténués remontent sur le bord du canyon. Mais ils doivent être prudents car le canyon abritent aussi des prédateurs féroces comme le puma. Les touristes, eux, ne vont que rarement au-delà des endroits prévus pour l'observation du panorama car le terrain est très difficile d'accès.

Il y a peu d'endroits aussi époustouflants sur cette terre que le Grand Canyon, l'un des derniers espaces sauvages américains a avoir été exploré et maintenant protégé par le statut de parc national. Parmi sa faune abondante, le mouflon canadien fait preuve de beaucoup d'agilité et parfois d'un peu d'agressivité.

Chaque touriste visitant la Grande barrière de corail contribue à sa protection via un petit prélèvement sur ses dépenses. Les scientifiques et les acteurs du tourisme nous encouragent donc à venir visiter ce milieu naturel unique pour en acquérir une meilleure compréhension et une meilleure connaissance.

La Grande barrière de corail est l'un des endroits les plus uniques et magnifiques au monde et l'un des symboles les plus puissants du changement climatique. Ce gigantesque écosystème s'étend sur 2300 kilomètres et est même visible depuis l'espace !

Des restrictions strictes d'eau vont concerner des millions de personnes en Californie tandis que la côte ouest des États-Unis vit toujours une sécheresse écrasante.

Le groupe prévoit de répandre l'information pour alarmer sur la situation des Inuits mais c'est déjà très tendu dans le village, où les dangereux ours blancs viennent chercher de la nourriture.

Debbie accompagne les jeunes reporters à la chasse et leur montre les dernières zones de vie sauvage. Elle et sa famille expliquent les nouvelles pressions que le changement climatique met sur ces communautés traditionnelles et reculées.

Lorsqu'un message d'appel à l'aide d'un correspondant inuit arrive dans l'équipe, quelques-uns d'entre eux décident de se rendre auprès d'eux pour mieux se rendre compte de leur situation et des changements climatiques qui provoquent le déséquilibre dans le Grand Nord.

Meastro explique aux jeunes le fonctionnement du Gulf Stream, le courant qui régule la température à laquelle nous sommes habitués. Ils nous explique aussi ce qu'il se passerait s'il ne se produisait plus.

Maestro parle de l'atmosphère terrestre qui jusque là, arrivait à réguler le climat pour assurer un milieu vivable aux humains et à la nature. Les jeunes veulent maintenant savoir ce qui est fait pour lutter contre l'effet de serre.

Il fait très chaud pour une journée de novembre et les jeunes jouent dehors. Ils sont convaincus que cela provient de l 'effet de serre et ils tentent d'expliquer le phénomène à quelques camarades moins sensibilisés à leur cause.

Les enfants sont frustrés par la lenteur des progrès accomplis pour la sauvegarde de la planète mais Maestro leur donne quelques raisons d'être enthousiastes : ils ont maintenant un grand espace de travail à leur disposition pour se lancer dans l'édition de leur journal et Meastro leur suggère le nom de leur nouveau mouvement : les défenseurs de la planète !

Maestro emmènent les enfants partout dans le monde pour leur montrer ce qui est entrepris pour lutter contre les fléaux environnementaux de notre époque. Il veut leur montrer que c'est un début et qu'il faut garder espoir.

Les jeunes et le Maestro voyagent à bord du globe volant que Maestro a inventé lui-même. Cela leur permet d'aller voir de plus près quels efforts environnementaux sont faits à divers endroits de la planète.

Maestro montre aux jeunes ce qu'il se passe au cours des conférences sur l'environnement, où les dirigeants fuient leurs responsabilités et empêchent d'avancer. Mais il voit aussi la nécessité d'agir et encourage les jeunes à poursuivre leur idée.

Maestro écoute les jeunes au sujet de leurs préoccupations concernant les enjeux climatiques et de leur frustration quant aux faibles mesures qui sont entreprises pour préserver la planète. Il veut savoir quelles solutions ils proposeraient.

John nous parle de l'importance des parcs dans les grandes villes, qui offrent une vue dégagée, de l'air frais et un peu de soleil ainsi qu'une conscience plus directe du changement des saisons grâce à la végétation ambiante.

Le groupe de jeunes est préoccupé par les questions du changement climatique et les enjeux environnementaux. Ils veulent agir mais ont besoin d'une base d'où ils pourraient travailler. Pendant ce temps, une nouvelle catastrophe écologique se déroule au large de la Bretagne...

Dans la ville côtière de Laguna, au Brésil, un lien fort s'est établi entre les dauphins et les pêcheurs locaux au fil des générations. Les dauphins poussent les mulets vers les pêcheurs et leur font un signe clair quand lancer leurs filets !

Dans un parc animalier privé d'Afrique du Sud, Or Lazmi a su se faire adopter par un groupe de quatre lions qui la connaissent depuis qu'ils sont petits et ils la considèrent comme une figure dominante. De ce fait, elle peut les approcher comme personne d'autre.

L'aigle royal était en voie d'extinction il y a encore une dizaine d'années mais les campagnes d'information ont porté leurs fruits et l'espèce, maintenant protégée, repeuple les Alpes. Le jeune aiglon de Biker attrape sa première proie, il est bientôt prêt à quitter le nid familial.